L’épopée des Écoles de Grézillé et St Georges : Quand les calculs scolaires deviennent des calculs politiques

« L’année scolaire précédente a pris fin dans un tumulte digne d’un final de série Netflix, avec une école sauvée in extremis – merci la mobilisation parentale ! Comme quoi, « l’union fait la force » n’est pas qu’une jolie phrase sur les pièces de monnaie. Mais trêve de blabla, parlons chiffres : 76 petits écoliers attendus pour 2023, contre 80 l’année passée. Et devinez quoi ? Un poste a été supprimé, malgré une performance de calcul d’effectif digne d’un championnat de Sudoku.

L’inspecteur de l’Éducation Nationale, armé de sa calculette, a bien confirmé ces chiffres, mais hélas, pas de renfort en vue. Le DASEN, dans sa grande sagesse, a dû penser que « moins c’est plus ». Pourtant, selon un grand penseur, « l’éducation est l’arme la plus puissante qu’on puisse utiliser pour changer le monde ». On se demande si cette phrase était dans le manuel du DASEN.

Mais ne baissons pas les bras ! La communauté est motivée, portée par l’espoir. Les naissances de 2021 pourraient nous sauver la mise, un peu comme un joker dans un jeu de cartes. Ces petits bouts de chou pourraient compenser le départ de nos valeureux CM2. Oui, nous parlons de ces mêmes CM2 qui, après avoir bravé les contrées de la conjugaison et les montagnes de la multiplication, s’apprêtent à conquérir de nouveaux horizons.

Parents des futurs élèves, un appel est lancé ! Inscrivez vos enfants sans plus attendre dans nos merveilleuses écoles publiques. Contactez la directrice de l’école de Grézillé au [numéro] ou par [email]. Rappelez-vous, comme le disait un autre grand esprit : « L’avenir de nos enfants commence aujourd’hui ». Vos enfants ne sont pas seulement la promesse d’un avenir radieux, mais aussi nos sauveurs scolaires, nos héros de la cour de récréation.

En les inscrivant, non seulement vous sauverez le poste perdu, mais vous pérenniserez nos écoles et nos villages. Après tout, n’est-ce pas la définition même de la communauté ? Se serrer les coudes, regarder vers l’avenir et… bien sûr, faire face aux calculs et décisions parfois absurdes de nos chers bureaucrates.

Alors, chers parents, à vos marques, prêts, inscrivez ! »